La suite tant attendue d’Une nuit sous tes étoiles !
Anna, quand viendras-tu ?
Elle a promis. Promis de venir nous rendre visite à ma fille Liz et moi. Pourtant, les semaines ont défilé depuis le 14 février, et rien. Pas un coup de fil, pas un mot qui vienne casser la routine de ma vie de père célibataire. Aurait-elle oublié notre rencontre à l’aéroport et le chocolat chaud ? Notre nuit intense, passionnée, magique ? Je ne peux pas l’oublier. Son sourire timide, son parfum de vanille, l’éclat sombre de ses yeux noyés de désir...chaque seconde passée ensemble me hante. Je dois la retrouver
Depuis sa rencontre avec Anna à l'aéroport de Chicago, Marc n'a cessé de penser à elle. Les gestes du quotidien lui rappel par moment sa brève histoire avec Anna, elle lui manque tellement. Elle lui avait promis de revenir mais il n'a toujours pas eu de nouvelle d'elle. Il est complètement envoûté par Anna, elle a su le conquérir dès qu'elle a aidé sa fille à l'aéroport. Le fait qu'elle prenne soin d'Elisabeth est une chose importante pour lui. Il n'arrête pas de penser à elle, il n'arrive plus à regarder d'autre femme et repense sans cesse au moment passé en sa compagnie.
Marc est le papa poule par excellence, il ferait tout pour que sa fille soit heureuse.
Elisabeth est vraiment trop mignonne. La voir comme ça avec son papa est juste trop mignon. On a le sourire dès le début du livre. Ses petites expressions m'ont fait fondre. C'est une petite fille qui à des oreilles qui traînent un peu partout et elle s'intéresse à beaucoup de chose comme on avait pu le voir dans "Une nuit dans tes étoiles".
Marc va décider de prendre les devants et d'aller à sa recherche mais pas sur qu'il y arrive.
Marc et Anna sont vraiment touchant. Ils ont du mal à communiquer mais ils ressentent la même chose l'un pour l'autre. Elisabeth est l'alibi pour se revoir mais au fond ils savent tous les deux que ce n'est pas que pour ça.
Elisabeth est là pour mettre son grain de sable dans leur relation, j'ai adoré. C''est une petite fille en or.
Mark ferait chavirer les coeurs de beaucoup de fille tellement il est romantique et gentleman. S'il existe sur cette terre et s'il pouvait être français en plus tant cas faire ^^ je le veux bien =)
Une histoire que j'ai dévoré d'une traite dès qu'elle est sortie C'est vraiment une très belle fin même si j'aurai bien voulu que l'histoire continue un peu. C'est vraiment trop court. J'adore toujours autant la plume d'Emily Blaine, elle nous transporte complètement dans ses histoires.
C'est une romance douce, on rêverait toute que cela nous arrive.
– Papa ?
Je me frottai les yeux, ébloui par la douce lumière du jour filtrant à travers les volets. Hier soir, la fatigue de mon corps avait finalement gagné la partie contre mon cerveau hyperactif mais mon sommeil avait été trop agité pour être salvateur. Je me redressai légèrement, devinant Elizabeth dans l’entrebâillement de la porte. Son doudou à la main, ses cheveux fous encadrant son visage, elle avait un petit sourire sur les lèvres. Ce fameux sourire qui me faisait oublier la fatigue et les souvenirs qui me hantaient.
– Viens par là, murmurai- je, en soulevant ma couette.
Elizabeth vint se lover contre moi, calant son doudou entre nos corps. Je passai ma main dans ses cheveux, tentant de démêler la masse de boucles. Je fermai les yeux, et sentis ses pieds glacés effleurer mes cuisses.
– Tu as encore dormi les pieds à l’air, la grondai- je gentiment.
Elle rit doucement, avant de poser franchement ses petits pieds contre moi. Un frisson me parcourut et je la serrai un peu plus contre moi. C’était notre habitude matinale, Liz venait dans mon lit, posait sa tête contre mon torse, réchauffait ses pieds, tout en dessinant les étoiles tatouées sur mon torse.
Et généralement, son ventre gargouillant nous rappelait à la réalité trépidante de nos vies.
– Petit déjeuner ? demandai- je en entendant son estomac.
– Des crêpes ?
– Crêpes ce week- end, c’est promis. Ce matin, c’est céréales, dis- je en me levant du lit.
– Grand- mère fait toujours des crêpes quand je dors chez elle.
– Grand- mère te ferait ranger ta chambre tous les jours si elle vivait ici. Tu veux vraiment que je lui demande de venir te faire des crêpes ?
Elle grimaça, réfléchissant à toute vitesse à ma proposition, avant de sortir du lit. Son doudou toujours contre elle, elle haussa les épaules, se résignant à son sort.
– Au chocolat ? tenta- t- elle.
– Va pour le chocolat.
Elle me suivit en cuisine et m’aida à dresser la table pour notre petit déjeuner. Je me servis un jus de fruits, pendant qu’elle versait, avec plus ou moins d’adresse, ses céréales dans son bol Winnie l’Ourson. Vivre avec ma fille m’avait appris à avoir des rituels. La regarder manger, à genoux sur sa chaise devant l’îlot de la cuisine, pendant que je sirotais mon jus de fruits face à elle en faisait partie.
– Tu viens me chercher à l’école ce soir ? m’interrogea- t- elle, les lèvres couleur chocolat.
– C’est tante Abby ce soir, mon cœur. Je viendrai te récupérer à la boutique.
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